Quelques parcs naturels d’Alaska

Le Parc National Denali :

Le Parc National de Denali, c’est près de 25 000 km2 de territoire naturel protégé traversés par une route nationale. Les voyageurs qui empreinte cette route peuvent observer la différence de végétation entre la taïga de basse altitude, la toundra qui apparaît un peu plus haut et les montagnes enneigées qui entourent le plus haut sommet d’Amérique du Nord. Le Denali domine les alentours du haut de ses 6 190 mètres. Le parc est libre de toutes clôtures et les nombreux animaux sauvages déambulent librement, parfois juste au bord de la route. Le Parc National de Denali est l’endroit rêvé pour qui est épris de solitude, de tranquilité et de nature sauvage indomptée.

Le Parc National de Kenai Fjords : 

Le parc national des fjords de Kenai englobe 2 711 kilomètres carrés parsemés d’innombrables fjords sculptés par les glaciers. Les fjords sinuent dans les montagnes et se rejoignent au mythique Harding Icefield, l’un des plus vastes champs de glace des États-Unis, qui abrite pas moins de 40 glaciers. Ce paysage unique est aussi un petit paradis pour les observateurs de la faune, grâce notamment la grande diversité de ses oiseaux et aux nombreux animaux marins qu’il héberge.

Le Parc National de Wrangell St Elias : 

Le Parc National de Wrangell St Elias est celui de tous les superlatifs. Il est le plus grand parc national américain, avec plus de 53 300 km², soit 6 fois la taille de Yellowstone. Créé en 1980, le parc est frontalier de celui de Kluane National Park au Canada. Ils forment à eux deux l’un des paysages naturels les plus spectaculaires au monde et représentent le premier ensemble binational à être inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco. Quatre grands massifs montagneux se rejoignent dans le parc : les Wrangell, les Chugach, l’Alaska Range et les St-Elias. Le parc abrite ainsi neuf des seize plus hautes montagnes des Etats-Unis, dont le mont St-Elias, second sommet du pays après le Denali, qui culmine à 5 489 mètres.